FETE DES VIEUX QUARTIERS DE NEU ISENBURG : UN RETOUR EN FORCE RICHE ET VARIE

Des invités de la ville jumelée française de Veauche sont venus à la  fête - et ont également apprécié hier le repas de saucisses blanches chez le Schwarze Elf dans la Kronengasse.

Beaucoup d'animations dans les ruelles : La fête de la vieille ville attire avec des rencontres, de la musique live et des regards sur l'histoire

     Offenbachpost du 11 juillet 2022

Un défilé de mode historique a été organisé par l'équipe du musée municipal avec des invités de la scène Living History.

Vendredi dans la vieille ville : Dès le début de la soirée, lorsque le maire Gene Hagelstein ouvre officiellement la fête de la vieille ville, les ruelles et la place du marché bourdonnent d'activités. Plus tard, il est presque impossible de passer à certains endroits.

Dans une ambiance de fête : vendredi soir, il y avait déjà beaucoup de monde dans les ruelles. De nombreuses familles et groupes d'amis se sont retrouvés dans le vieux village.


Il est évident que de nombreux habitants d'Isenburg se sont réjouis de la première grande fête de la ville après deux ans d'interruption due à la pandémie et veulent maintenant profiter pleinement du fait qu'avec la fête de la vieille ville, un peu de "normalité publique" revient au cœur de la ville, ce qui a toujours fait le charme de la fête de la vieille ville
On y rencontre des gens que l'on ne voit pas de l'année. On se connaît, on boit un verre ensemble, on discute ou on se fait des signes. Mais le chef de l’exécutif municipal invite aussi à la prudence : "Je me réjouis que tant de gens profitent à nouveau de la possibilité de se rencontrer, je suis très heureux de voir avec quelle joie ils se rencontrent. Mais le Corona n'est pas encore terminé . Faites attention les uns aux autres.


Une minute de silence pour l’Ukraine

Dès le début de sa première inauguration de fête en tant que maire, Gene Hagelstein réussit un grand écart difficile. Avant de passer aux réjouissances, il demande une minute de silence sur la place du marché - où se tiennent actuellement des veillées pour la paix le vendredi soir - en hommage aux victimes de la guerre en Ukraine. Bien sûr, tout le monde ne le perçoit pas. mais les gens qui suivent l'ouverture sont là, immobiles, avec Hagelstein, et applaudissent. Un moment qui donne la chair de poule. Les nombreux acteurs culturels que Hagelstein a ensuite récompensés pour leurs projets fédérateurs pendant la pandémie en leur décernant sept prix spéciaux de la ville (voir article ci-dessous) ont également été applaudis. . Le chef de l'exécutif municipal remercie également les organisateurs de la fête, en particulier le service d'animation de la ville de Gordana Petkovic, qui ont trouvé une bonne solution pour l'emplacement de la scène et qui ont réussi à trouver un beau mélange de stands d'associations et d'institutions ainsi que d'autres participants. Il y a des changements évidents ici dans la vieille ville et il y en aura d'autres - profitez du sondage sur l'apparence future de la place du marché", indique le chef de l’exécutif municipal en précisant que des cartes de participation sont encore disponibles au musée de la ville. En se promenant dans les ruelles, on voit toujours des gens se saluer joyeusement et se prendre dans les bras. Mais il y a aussi ceux qui se sentent concernés par Corona. Ils portent un masque et essaient d'éviter les foules trop denses. "Non, nous n'allons pas passer par là, il y a trop de monde", dit une dame âgée à son compagnon - et ils choisissent un autre chemin. "Oui, c'est comme ça, chacun se sent comme il veut", dit Gordana Petkovic, qui se montre satisfaite de ce démarrage.
Le nouveau directeur culturel de Neu-Isenburg, Christopher George, observe lui aussi les événements et s'enthousiasme : "C'est vraiment un début réussi pour la nouvelle saison des festivités, les gens se pressent vers les lieux où ils peuvent à nouveau profiter de la culture".
Musique live. Et toute une sélection pour les personnes qui veulent le plein d’énergie.


Une file d'attente se forme parfois devant les burgers géants. Ensuite, quelques pas plus loin, on peut déguster des créations glacées japonaises chez Sawa Takahashi-Erfert. Mais la culture n'est pas en reste. Le défilé de mode historique sur la place du marché attire tous les regards.
Et des acteurs de la scène historique vivante autour d'Andrej Pfeiffer-Perkuhn montrent dans le musée de la ville comment les gens de toutes les époques ont fait face aux crises. Pour ce faire, ils ont emporté dans leurs bagages différents objets avec lesquels ils présentent des stratégies de gestion de crise du Moyen-Âge à l'époque moderne et au 20e siècle, comme l'explique Christian Kunz, directeur du musée. Le voyage dans le temps s'est terminé avec le "marchand du marché noir" (joué par Matthias Zimmermann), qui a fait de la nécessité une vertu après la Première Guerre mondiale et a fait le commerce de biens convoités. A chaque crise, les gens ont trouvé une solution - j'espère qu'il en sera de même cette fois-ci", déclare Zimmermann en évoquant la situation actuelle. Même si certains visiteurs ont trouvé qu'il n'y avait pas assez de stands ou que l'emplacement de la scène n'était pas optimal, la 38e fête de la vieille ville a permis à de nombreux fans d'oublier pour un moment les privations de l'époque du Corona. "Espérons que cela reste ainsi", tel est le souhait souvent exprimé durant le week-end.